PORC (HAUSSE)
La hausse des cours pourrait s’affirmer à travers l’Union européenne
La faiblesse de l’offre a eu raison de l’orientation de la cotation allemande, qui a repris 0,04 € le 22 mars. Un mouvement qui devrait encourager les pays voisins à suivre la tendance. Ce vent de fermeté est en mesure de se poursuivre à moyen terme ; aucun net retour des volumes n’est annoncé, l’export pays tiers devrait rester tonique et un réveil de la consommation communautaire est attendu, comme souvent au printemps.
Vaches : un marché qui reste peu évolutif (STABLE)
La demande est limitée en vaches allaitantes, tout comme l’offre. Les prix sont stables. En laitières, si les abattoirs cherchent à limiter la hausse des cours faute de revalorisation en aval, le manque de disponibilités joue en leur défaveur.
Agneau : l’approche de Pâques anime le marché (HAUSSE)
Après avoir fortement baissé depuis le début de l’année pour atteindre des niveaux jugés très bas, les cours de l’agneau français commencent à remonter à l’approche de Pâques.
Dinde : un marché terne et des stocks encore larges
Faute de consommation suffisante, les ventes de découpes de dinde demeurent délicates et freinent l’activité de l’ensemble de la filière. Malgré le déclin des abattages, les stocks peinent à se résorber et les prix demeurent sous pression.