UFS

Le marché des semences en baisse de 5 à 7 % pour 2016

article .paywall-content { display: none; } article .paywall .noscript { text-align: center; padding: 100px 10px 100px 10px; box-shadow: 0px 4px 4px rgba(0, 0, 0, 0.15); background: radial-gradient(circle at 50% 75%, rgba(240, 255, 255, 0.30) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 75% 15%, rgba(100, 149, 203, 0.60) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 10% 55%, rgba(44, 117, 255, 0.50) 0%, transparent 40%); max-width: 800px; margin: 10px; }

Javascript est désactivé

Javascript semble être désactivé. Cela bloque certaines fonctionnalités du site.

Pour activer Javascript, merci de cliquer ici

Publié le 22 novembre 2016 - Par

Rédaction Réussir

Une première estimation du marché français des semences pour 2016 montre un recul de 5 à 7 %, a indiqué le 15 novembre l'UFS à Paris. « Les semenciers sont très impactés », déclare Régis Fournier, le président de l'UFS, ce qui se traduit par des plans sociaux et des regroupements de sociétés. L'UFS note une baisse des semences certifiées en céréales à paille, sous la barre des 50 % d'utilisation, une chute des surfaces en maïs « jamais vue en vingt ans », une « très mauvaise année pour les semis de colza ». Du mieux est annoncé en semences fourragères mais qui ne compense pas « des gros marchés tirant vers le bas ». « La solution est d'actionner deux leviers : l'innovation et le développement à l'international », a estimé Régis Fournier. « L'année aurait été pire s'il n'y avait pas une création variétale dynamique. »

Actu marchés