Maïs
Le marché américain donne le tempo
Les prix sur le physique français sont tirés vers le haut par Chicago, en raison du retard de la récolte américaine et de la demande mondiale. Au niveau national, les consommateurs bretons hésitent à se positionner, vu la hausse des cours. Dans le Sud-Ouest, des affaires se traitent sur le court terme et les grandes longueurs. La logistique reste un frein aux échanges sur le rapproché. Les places portuaires bordelaise et rochelaise génèrent également un petit courant d'affaires. En sorgho, des transactions se traitent régulièrement. Au nord de la Loire, les échanges se concrétisent doucement. Par ailleurs, le CIC a estimé la production mondiale de maïs 2014/2015 à 980 Mt (974 Mt le mois dernier), les échanges à 113 Mt (115 Mt), la consommation à 961 Mt (959 Mt) et le stock de report à 194 Mt (191 Mt).