Le Copa-Cogeca souhaite un règlement pour permettre la faible incorporation d'OGM non autorisés

article .paywall-content { display: none; } article .paywall .noscript { text-align: center; padding: 100px 10px 100px 10px; box-shadow: 0px 4px 4px rgba(0, 0, 0, 0.15); background: radial-gradient(circle at 50% 75%, rgba(240, 255, 255, 0.30) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 75% 15%, rgba(100, 149, 203, 0.60) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 10% 55%, rgba(44, 117, 255, 0.50) 0%, transparent 40%); max-width: 800px; margin: 10px; }

Javascript est désactivé

Javascript semble être désactivé. Cela bloque certaines fonctionnalités du site.

Pour activer Javascript, merci de cliquer ici

Publié le 9 février 2011 - Par

Rédaction Réussir

Le Copa-Cogeca demande « aux États membres de trouver un accord au sein du comité permanent pour les biotechnologies, lors de leur réunion du 8 et 9 février, sur un projet de réglementation permettant une présence en faible concentration d'OGM non autorisés dans l'alimentation animale jusqu'à un seuil maximal de 0.1% » précise un communiqué. « Alors que la plupart des éleveurs européens sont confrontés à de graves pertes économiques, la réticence de l'UE à s'accorder sur un seuil pratique pour la présence en faible concentration d'OGM encore non autorisés dans l'UE dans les aliments pour animaux importés conduira de nombreux éleveurs et opérateurs de l'alimentation animale à cesser leur activité » prévient le secrétaire général du Copa-Cogeca, Pekka Pesonen. Sur le long terme, le Copa-Cogeca souhaiterait que « l'UE développe son propre approvisionnement en protéines et réintroduise les protéines animales transformées afin de réduire sa dépendance au soja importé ».

Actu marchés