États-Unis : le prochain Farm Bill va subir des restrictions budgétaires

article .paywall-content { display: none; } article .paywall .noscript { text-align: center; padding: 100px 10px 100px 10px; box-shadow: 0px 4px 4px rgba(0, 0, 0, 0.15); background: radial-gradient(circle at 50% 75%, rgba(240, 255, 255, 0.30) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 75% 15%, rgba(100, 149, 203, 0.60) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 10% 55%, rgba(44, 117, 255, 0.50) 0%, transparent 40%); max-width: 800px; margin: 10px; }

Javascript est désactivé

Javascript semble être désactivé. Cela bloque certaines fonctionnalités du site.

Pour activer Javascript, merci de cliquer ici

Publié le 7 octobre 2011 - Par

Rédaction Réussir

« Il va falloir faire plus - en matière d'environnement - avec moins de moyens » indique John Scholl, président de l'American farmland trust (une association œuvrant pour le développement rural et la protection de l'environnement dans l'agriculture) à propos du prochain Farm Bill, la grande loi régissant la politique agricole américaine. Invité par la Saf-agriculteurs de France a s'exprimer lors d'un «5 à 7», le 6 octobre, il a estimé que «du fait des difficultés financières que rencontrent les États-Unis, il risque d'y avoir des évolutions bien plus importantes que lors des derniers Farm Bill». Le prochain Farm Bill qui doit entrer en application en 2013 commence à être débattu aux États-Unis. Pour Megan Stubbs, en charge des questions environnementales au sein du service de recherche du Congrès américain, le constat est le même : «L'enveloppe prévue pour la politique agricole pourrait être réduite de plus de 5%». Et selon elle, ce sont les paiements directs qui devraient être fortement remis en cause.

Actu marchés