Les cours s'effritent sur les deux campagnes. Les derniers lots disponibles s'écoulent, tandis que l'attentisme règne concernant la récolte 2015. Les vendeurs attendent d'avoir des précisions, quantitative et qualitative, du prochain cru, avant de s'engager davantage dans sa commercialisation.
Dans un contexte de cours du blé français au plus bas et des trésoreries affectées dans les fermes, l'activité est limitée.
Pour la seconde fois, la Commission européenne propose de reporter d’un an l’entrée en application de la RDUE, la…
L’Établissement public a abaissé sa prévision de stocks finaux pour 2025-2026 en blé tendre, orge et maïs grain. Les…
Le chiffre d’affaires de l’amidonnerie française a reculé de 21 % sur l’année 2024, avec pour conséquence le repli des achats…
L’évolution des prix du blé, de l’orge et du maïs français entre le 8 et le 9 octobre 2025, expliquée par La Dépêche-Le Petit…
Les chargements du terminal céréalier dunkerquois sur le premier trimestre de la campagne de commercialisation 2025-2026 sont…
