Aller au contenu principal

Sommet de l’élevage : « Une formidable caisse de résonance pour l’élevage »

À quelques jours de l’ouverture du Sommet de l’élevage, son président, Jacques Chazalet explique en quoi il est confiant et avoue avoir déjà l’œil rivé sur l’avenir.

Au début de l’été, Jacques Chazalet a succédé à Roger Blanc à la tête du Sommet de l’élevage.
Au début de l’été, Jacques Chazalet a succédé à Roger Blanc à la tête du Sommet de l’élevage.
© S.C.-C.

Le Sommet de l’élevage ouvrira ses portes le mercredi 1er octobre, à la Grande Halle pour trois jours riches en événements. Que peut-on attendre de cette nouvelle édition ?
Jacques Chazalet : En termes d’exposants, nous avons fait le plein puisque nous en accueillerons 1 270, soit 3 % de plus qu’en 2013. Côté présentations animales, conférences et animations, là-aussi le planning est bien rempli. L’idée est de permettre aux visiteurs d’accéder à la fois à une vaste offre commerciale tout en lui donnant la possibilité de s’informer le plus précisément possible sur les enjeux du moment. Le tout dans une ambiance conviviale. Le Sommet, c’est un carrefour d’affaires et d’idées destinés aux professionnels, une formidable caisse de résonance pour l’élevage, qui n’occulte pas le côté festif.

Les visiteurs étrangers seront encore nombreux à converger vers la Grande Halle d’Auvergne…
J.C. : Le Sommet permet à l’ensemble des opérateurs de nouer des relations avec de nombreux pays. L’an dernier, nous avons accueilli 3 600 visiteurs internationaux originaires de 80 pays différents. Ces chiffres devraient encore croître cette année. Face à la demande des pays du pourtour méditerranéen, le bassin allaitant français dispose d’atouts à mettre en avant et le Sommet peut, par exemple, contribuer à faire avancer les choses. En matière d’élevage laitier aussi le salon se positionne comme un catalyseur des réflexions autour de l’élevage des races bovines laitières des zones agro-climatiques difficiles (zone de montagne, systèmes herbagers extensifs, etc.). En filière bovine, laitière, ovine et équine, on voit très bien que les stratégies de développement dépassent vite le seul cadre national. D’où l’intérêt pour les éleveurs français et étrangers d’avoir un rendez-vous régulier, comme le Sommet, pour échanger.

 

[...]

La suite est à lire dans la Creuse agricole et rurale du 19 septembre 2014.

Les plus lus

Comment la France peut aider le Maroc à repeupler son cheptel bovin et ovin ?

Sept ans d'une sécheresse redoutable, couplée aux soubresauts de la géopolitique ont fragilisé l'élevage marocain, si bien que…

“Je veux pouvoir aller aux vaches en baskets !”

Chez les Noyer, à Saint-Martin-Cantalès, on ne lésine pas avec la propreté des vaches, de la stabulation et de la salle de…

Un groupe de personnes au milieu de véhicules de pompiers.
Photographie, le quotidien mis en scène

Le jeune photographe cantalien, Dorian Loubière, poursuit sa série de mises en scène des années 1950. Dernière prise de vue,…

un groupe de personnes
“Chez Mallet”, depuis 40 ans : le restaurant de Lavastrie est devenu une institution

Véritable institution sur la Planèze de Saint-Flour, le restaurant Chez Mallet à Lavastrie soufflera ses 40 bougies, les 8 et…

Dans la peau d’un membre du comité Safer

Lors de son rendez-vous Terre de rencontres dans le Cantal, la Safer Auvergne-Rhône-Alpes a proposé un exercice…

Le président Jérôme Grasset et le directeur Christophe Arnaudon.
Un nouveau binôme à la tête du GDS Haute-Loire

Le GDS Haute-Loire vient de changer de président et dispose depuis le début de l'année d'une nouvelle direction. Faisons plus…

Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 100€/an
Liste à puce
Accédez à tous les articles du site Réussir lait
Profitez de l’ensemble des cotations de la filière Réussir lait
Consultez les revues Réussir lait au format numérique, sur tous les supports
Ne manquez aucune information grâce aux newsletters de la filière laitière