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Martial Chesnot à la tête de l'abattoir de Langogne

L'abattoir de Langogne accueille un nouveau directeur depuis le 1er avril. Son arrivée, dans un contexte difficile pour l'abattoir, annonce des évolutions pour la structure. Portrait.

L'abattoir de Langogne accueille un nouveau directeur depuis le 1er avril. Son arrivée, dans un contexte difficile pour l'abattoir, annonce des évolutions pour la structure.
L'abattoir de Langogne accueille un nouveau directeur depuis le 1er avril. Son arrivée, dans un contexte difficile pour l'abattoir, annonce des évolutions pour la structure.
© Marion Ghibaudo

Martial Chesnot est venu de sa Normandie natale pour prendre le poste au 1er avril, une fois sa candidature acceptée. Un changement de paysage qui ne fait pas peur à celui qui est issu « de plusieurs générations d'agriculteurs ».
Bien dans ses bottes, il prévient tous ceux qui lui posent la question : « je ne suis pas là pour fermer l'abattoir, mais pour accompagner son développement ». « Je crois fermement à cette entreprise », soutient-il. Un défi que le nouveau directeur, choisi parmi cinq candidats venus de toute la France, est bien décidé à relever, lui à qui les challenges ne font pas peur, et qui a déjà quelques pistes de croissance en tête. « Pour le moment, je préfère les garder pour moi tant que rien n'est concret », dit-il.
Son CV illustre bien son goût pour les paris risqués : « J'ai été PDG d'une entreprise de travaux agricoles pendant 12 ans, déroule-t-il. Quand je suis arrivé, cette petite entreprise familiale de 10 employés travaillait avec du matériel obsolète ». Après 12 ans à sa tête, Martial Chesnot se dit fier du travail accompli, et de son bilan, laissant une entreprise, « avec du matériel neuf et un carnet de commandes plein ».

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