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Les instruments de la Pac doivent être mieux ciblés

Au titre de la période de programmation 2014-2020 de la Pac, une étude commandée par la Commission européenne montre l’importance d’améliorer à terme le ciblage des paiements de base du premier pilier au profit des exploitations agricoles les plus fragiles ainsi que leur accès aux différentes sources de financement.

Au titre de la période de programmation 2014-2020 de la Pac, une étude commandée par la Commission européenne montre l’importance d’améliorer à terme le ciblage des paiements de base du premier pilier au profit des exploitations agricoles les plus fragiles ainsi que leur accès aux différentes sources de financement.
Au titre de la période de programmation 2014-2020 de la Pac, une étude commandée par la Commission européenne montre l’importance d’améliorer à terme le ciblage des paiements de base du premier pilier au profit des exploitations agricoles les plus fragiles ainsi que leur accès aux différentes sources de financement.
© François d’Alteroche

Dans le cadre de l’analyse de l’impact de la Pac sur le développement territorial équilibré des zones rurales au cours de la période de programmation 2014-2020, l’étude d’évaluation commandée par la Commission européenne et publiée le 18 février, souligne avant tout la nécessité d’améliorer le ciblage des paiements de base du premier pilier sur les exploitations agricoles qui connaissent les conditions sociales et économiques les plus difficiles. Sur ce point, l’étude indique que les instruments du premier pilier ont tendance à se concentrer davantage dans les zones agricoles déjà développées, ce qui limite leur efficacité dans le cadre d’un développement territorial équilibré. Les grandes exploitations peuvent bénéficier de montants proportionnellement plus élevés que les petites, étant donné que les paiements directs sont attribués en fonction de la taille des exploitations agricoles. Il est donc à craindre, précise l’étude basée sur une enquête auprès de partie prenantes, que « les différences de traitement entre les petites et les grandes exploitations agricoles ne finissent par creuser le fossé économique qui les sépare, et par limiter encore plus la capacité des petites exploitations à être compétitives ».

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