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Jeunes pointeurs, dix sélectionnés pour Paris

Les lycéens de l’enseignement agricole publique et privé de Lozère ont pu participer mercredi 21 novembre au concours de jugement d’animaux par les jeunes. Au terme d’un après-midi d’épreuves, dix jeunes ont été sélectionnés pour aller en finale nationale.

Les dix jeunes selectionés iront défendre les couleurs de la Lozère en février prochain à Paris.
Les dix jeunes selectionés iront défendre les couleurs de la Lozère en février prochain à Paris.
© Aurélie Pasquelin

Organisée chaque année par l’enseignement public agricole de Lozère, en partenariat avec les Jeunes agriculteurs du canton du Malzieu, la version départementale du concours de jugement d’animaux par les jeunes (CJAJ) permet aux lycéens de toute la Lozère de s’affronter. Élèves de l’enseignement public et privé se sont ainsi retrouvés mercredi 21 novembre sur plusieurs exploitations du canton du Malzieu pour participer aux épreuves du concours. « Lors de leurs inscriptions, les jeunes ont dû choisir la race dans laquelle ils concourraient », explique Dominique Carrère, enseignante au lycée François Rabelais de Saint-Chély-d’Apcher. En tout, neuf races étaient disponibles pour le concours lozérien. « Une telle diversité n’est pas visible partout, confie Aurélie Archer, professeur en zootechnie au lycée Terre Nouvelle. En Lozère, nous avons la chance d’avoir un élevage varié, ce qui permet aux élèves de pouvoir s’inscrire dans plusieurs catégories. » Une variété qui a aussi permis à dix élèves de se qualifier pour les épreuves nationales qui se dérouleront pendant le prochain Salon international de l’agriculture, en février prochain. En effet, mercredi dernier, seuls les premiers de chaque catégorie (et les deux premiers pour les équins) représenteront la Lozère à Paris. Comme au concours départemental, ils devront alors pointer les animaux et essayer de se rapprocher le plus possible des grilles établies par des professionnels du pointage. Ainsi, mercredi 21 novembre, « des pointeurs ou des professionnels de chaque race sont venus le matin pour pointer les animaux du concours, continue Dominique Carrère. L’après-midi, les élèves sont passés sur les exploitations pour remplir leurs grilles de pointages et essayer de s’approcher le plus possible des notations effectuées le matin ».

 

 

Suite de l'article à lire dans le Réveil Lozère n°1486, du 29 novembre 2018, en page 5.

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