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Formations bi-qualifiantes : « une activité peut compenser l’autre »

Alors qu’il devient toujours plus difficile de vivre de l’agriculture, plusieurs exploitants ou jeunes en formation se tournent vers la bi-qualification. L’idée ? Développer une activité annexe, dans le secteur sportif ou touristique par exemple, pour compléter leurs revenus.

L’EPLEFPA envisage d’instaurer de nouveaux BP Jeps autour de son BTS Gestion et protection de la nature. Un secteur auquel s’accommodent bien des activités liées à la pêche ou à la randonnée.
L’EPLEFPA envisage d’instaurer de nouveaux BP Jeps autour de son BTS Gestion et protection de la nature. Un secteur auquel s’accommodent bien des activités liées à la pêche ou à la randonnée.
© Sabrina Khenfer

Le 22 novembre dernier, une convention visant à favoriser la bi-qualification dans l’enseignement agricole a été signée entre le ministère de l’Agriculture et le ministère de la Jeunesse et des Sports. Son but ? Former les futurs exploitants à combiner activités agricoles et encadrement d’activités sportives. Une idée qui fait son chemin depuis les années 1970 et qui trouve enfin une application en 2017.
En Lozère, toutefois, il existe déjà un enseignement agricole qui permet à ses élèves d’envisager une pluriactivité, synonyme de complément de revenus. L’EPLEFPA* propose par exemple deux BP Jeps (brevet professionnel de la jeunesse, de l’education populaire et du sport) en activités équestres et en pêche de loisir. Son directeur, Olivier Lorette, explique : « nous développons ces formations pour le compte du ministère Jeunesse et Sports. On y retrouve souvent des gens qui ont eu une formation agricole et qui souhaitent un complément d’activités ou des jeunes avec un projet d’installation. »

 

Suite de l'article à lire dans le Réveil Lozère n°1406, du 20 avril 2017, en page 5.

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