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Cécile Prioux, Commerciale à L’Allier Agricole

Dynamisme et sourire à votre service…

© AA 03

Relationnel, prospection, veille concurrentielle, régie publicitaire... Ces termes n’ont aucun secret pour Cécile Prioux, nouvelle commerciale de L’Allier Agricole.

Quel est votre parcours professionnel ?
Cécile Prioux : Après avoir été diplômée ingénieure agricole option production animale, j’ai mis un peu de temps à trouver un travail en arrivant dans la région. J’ai été chargée de clientèle agricole chez Groupama quelque temps mais ça n’était pas fait pour moi. Je préfère l’ambiance des entreprises à taille familiale. En 2011, je suis devenue commerciale en nutrition équine. Durant six ans, j’ai parcouru des milliers de kilomètres, fait de belles rencontres et appris énormément de choses. C’était très enrichissant professionnellement et humainement. Ensuite, j’ai élevé ma fille tout en créant une auto-entreprise. En début d’année, j’ai vu le poste à L’Allier Agricole comme une belle opportunité de découvrir autre chose. J’ai intégré l’équipe en février. J’y ai découvert le travail au bureau et en équipe. Cela change mais c’est plaisant. L’ambiance est excellente.

Vous avez un parcours universitaire en ingénierie agricole, pourquoi avoir voulu vous diriger vers la profession de commerciale ?
C.P : J’aime l’indépendance et l’autonomie dans mon travail. C’est un poste où il faut savoir être polyvalent. Aussi et surtout, j’aime la relation avec les gens, le contact humain.

Qu’est-ce qui vous a conduit à L’Allier Agricole ?
C.P : Après mes nombreuses années de commerciale à parcourir la France, il était temps pour ma famille et pour moi que je me pose un peu. J’avais aussi envie de revenir dans le secteur agricole. L’opportunité offerte par L’Allier Agricole était très intéressante, puisque, outre la partie commerciale, je trouvais le secteur de la communication très enthousiasmant.

Quel est votre rôle au sein de cet hebdomadaire ? Que faites-vous concrètement ?
C.P : Je travaille sur plusieurs éléments. Tout d’abord, la publicité : le but étant de rechercher des annonceurs (concessionnaires, coopératives, agriculteurs…) qui souhaitent promouvoir leurs entreprises et services via le journal.
À cela s’ajoute la gestion des annonces jusqu’à leur mise en page dans le journal et également celle des abonnements.

Outre votre métier, vous avez une passion pour l’équitation, pouvez-vous nous en dire plus ?
C.P : Plus largement, j’ai surtout une passion pour les animaux et l’élevage. Mon conjoint étant éleveur bovin, je participe à ses côtés aux travaux de la ferme. Tout comme j’aide régulièrement ma sœur sur son exploitation ovine.
Concernant l’équitation, je la pratique exclusivement en famille pour le loisir. Nous avons aussi un petit élevage de chevaux de course. Nous allons très souvent sur les hippodromes et je suis bien impliquée dans les associations d’élevage à ce niveau.
La filière équine n’est pas vraiment reconnue comme une filière agricole à part entière. Il y a un an, j’ai créé un outil qui n’existe nulle part ailleurs :
NosPoulains.fr. C’est un site internet dédié uniquement à la vente de chevaux de course issus de nos élevages français. Le but étant d’aider les petits éleveurs à se faire connaître et à commercialiser leurs produits.

Propos recueillis par Lénaïc André et Sébastien Joly

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