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Le bio passe à la vitesse supérieure en grandes cultures

 © Einböck

La consommation bio a le vent en poupe. Après avoir été à la traîne, les grandes cultures s’engagent de plus en plus massivement sur ce marché, et l’écart entre la demande et la collecte est désormais comblé en blé.

Des structures de plusieurs centaines d’hectares franchissent le pas, parfois en convertissant toute la surface d’un seul coup. Longtemps confinées aux zones de moindre potentiel, ces conversions concernent maintenant les grands bassins céréaliers à haut rendement.

Cette nouvelle donne soulève des questions : pourquoi des exploitations spécialisées de grande taille font-elles le choix du bio ? Comment les organismes économiques accompagnent-ils cette croissance ? Quels sont les impacts agronomiques à prendre en compte, notamment sur la teneur en phosphore des sols ? Ce dossier apporte un éclairage sur ce nouveau contexte.

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