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Entreprises
InVivo NSA : nouvelle usine au Mexique

Après avoir inauguré 3 sites en Amérique latine au 1er semestre 2013, InVivo Nutrition Santé animale poursuit son développement dans cette région du monde en reprenant la firme-services mexicaine Vipresa, comme l’indique un communiqué du 17 juillet. L’entreprise, qui emploi 85 personnes, est au service des fabricants d’aliments locaux, mais aussi des éleveurs produisant leurs aliments à la ferme, « marché dynamique et en croissance », précise Matthieu Leroy, conseiller auprès du directeur général d’InVivo NSA. Concernant les aliments complets, le marché mexicain représente 26,3 Mt, dont 14,2 en volailles, 7,2 en ruminants et 4,1 en porc.

Vipresa, réference en aliments spéciaux, ingrédients et additifs
Vipresa assure la distribution de matières premières et acides aminés et commercialise des prémélanges de vitamines, oligo-éléments et additifs. Elle « dispose de positions fortes au sein des principaux états producteurs porcins, bovins et avicoles ». Cette acquisition « permet à notre société de devenir l’une des références au Mexique en matière d’aliments spéciaux, ingrédients et additifs », commente Henry de Roquefeuil D.G. d’InVivo NSA. Présent dans le pays depuis 2008, In Vivo NSA y dispose de 10 usines et  fait partie des principaux producteurs d’aliments complets, petfood et aquaculture.
L’Amérique latine constitue « l’une des zones prioritaires, au sein desquelles In Vivo NSA souhaite continuer à renforcer ses positions ». Ainsi, début 2012, la société a-t-elle inauguré deux nouvelles usines au Brésil et une au Mexique (petfood).

L’Asie, l’autre marché ciblé
Fort d’un CA de 14 Md€ et présent dans 18 pays, le groupe maintient le cap à l’international. L’Asie fait également partie de ses marchés cible : après avoir mis en service une nouvelle usine au Vietnam au premier semestre, la filiale du groupe coopératif français a inauguré, le 20 juin, une seconde en usine en Indonésie, sur l’île de Java. « Ultramoderne », et d’une capacité de 125.000 t, elle est axée sur les aliments volailles, piscicoles et des farines. Elle représente un investissement de 11 M€. Le marché indonésien (8,6 Mt d’aliments complets) progresse de 4 à 6 % par an (volailles : 7,2 Mt ; aquaculture : 0,6 Mt ; ruminants : 0,5 Mt ; porc : 0,3 Mt). Le nouvel outil est destiné à répondre « aux attentes des îles de la zone en matière d’export d’aliments ».

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