dont le commissaire européen à l'Agriculture prend acte
« Je sais pertinemment qu'il y aura des préoccupations pour certaines des concessions que nous avons offertes pour négocier cet accord », a commenté Dacian Ciolos, le commissaire européen à l’agriculture, quelque peu réservé. « Permettez-moi d'être clair : ces concessions sont gérables, mais il faut mener les autres négociations de libre-échange d'une manière qui apporte vraiment à l'agriculture de l'UE, avec le bon niveau de concessions pour les secteurs particulièrement sensibles ». De son côté, Nicole Bricq, la ministre française du commerce extérieur, a demandé à la Commission de « fournir rapidement tous les éléments sur les conséquences de cet accord sur l’élevage européen ». Elle attend aussi de la Commission « la confirmation que cet accord, notamment dans son volet agricole, ne servira pas de précédent pour la négociation qui s’engage avec les États Unis ».